Mounir GRAMI

Réconcilier la France, pour une société meilleure, un Monde en Paix!

mardi 12 mars 2013

Mon Blog a 1 an et 10 000 visites!

Dans la continuité de mon engagement militant, je crée l'association citoyenne des "Enfants de la Méditerranéenne". Le 10 Mars 2012, je lance ce site "politique" en vue de me présenter aux élections législatives françaises de 2012. Une expérience inoubliable qui continue a me construire. Mon attachement entre la France et la Tunisie m'apporte une ouverture d'esprit sur les problèmes internationaux notamment en Europe et dans le Monde Arabe. Depuis maintenant un an, mon blog a atteint les 10 000 visites. C'est la preuve que l'on peut combattre ce système par les médias alternatifs. Je vous rassure, je n'ai pas que des amis qui me suivent et cela rend plus fort ma détermination a continuer sur ce chemin. Je provoque beaucoup d'interrogations car mon parcours est atypique et que ma personnalité sort du commun. Je me considère "modestement" comme un homme politique car je vis de politique et la politique, c'est ma vie! Jaures disait: "le courage, c'est de trouver la vérité et de la dire". Malgré tous les coups tordus de mes adversaires ou même certains de mes "camarades", je reste debout!

"On n'abdique pas l'honneur d'être une cible" (Segolene Royal citant Cyrano de Bergerac)

MOUNIR GRAMI

dernière publication le 8 mars 2013
 
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vendredi 8 mars 2013

Journée de la Femme

Pour la ministre des Droits des Femmes, la Journée de la Femme, c'est tous les jours. Littéralement. Najat Vallaud-Belkacem assume son portefeuille avec passion. Trop peut-être?

Omniprésente dans les médias en tant que porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, également ministre des Droits des Femmes, peut naturellement mettre l'accent sur "ses" dossiers à l'occasion de la Journée de la Femme.
afp.com/Bertrand Langlois
La Journée de la Femme, ce vendredi, est aussi celle d'une femme: Najat Vallaud-Belkacem! A la Une du Parisien/Aujourd'hui en France, elle annonce "des sanctions dans six mois si rien ne se passe" dans les entreprises pour lutter contre les inégalités salariales entre hommes et femmes. Sur RTL, elle promet un "plan crèche assez ambitieux" d'ici le mois d'avril, pour "faire en sorte que les salariés féminins comme masculins puissent le mieux possible articuler leur vie personnelle et leur vie professionnelle". Et tacle Nathalie Kosciusco-Morizet à qui elle attribue la "palme de la misogynie"...La jeune ministre enchaîne avec un tchat sur lemonde.fr., reçoit le site aufeminin.com pour une interview vidéo et répond aux questions de Sud Ouest...
 
 
Bref, Najat-Vallaud-Belkacem est partout. La visibilité médiatique, elle connaît. En tant que porte-parole du gouvernement Ayrault, elle doit être capable de commenter tant la guerre au Mali que le budget 2014, en passant par les hashtags haineux sur Twitter. Et de faire face aux salves de questions des journalistes, après chaque Conseil des ministres. La Journée de la Femme, qui fait naturellement partie du territoire de la ministre des Droits des Femmes, est une aubaine pour cette jeune ministre.
Najat Vallaud-Belkacem a repris en 2012 ce portefeuille qui n'a pas toujours eu cette forme: secrétariat d'Etat attribué à François Giroud en 1974, ministère délégué ou ministère de plein droit au fil des gouvernements de gauche et de droite, poste vacant depuis 2007... Ni ce périmètre: la Condition féminine, l'Emploi féminin, la Vie quotidienne ou la Parité ont précédé les Droits des femmes.

"Offensive" et "empathique" sur le sociétal

Pour promouvoir cette cause, elle est aidée par une conseillère de fort caractère, qui fut porte-parole de l'association Osez le féminisme: Caroline de Haas. C'est à elle que la mission de sensibilisation des autres ministres aux stéréotypes machistes a été confiée. Des stages plus qu'utiles dans la mesure où les nominations restent toujours très masculines, même au sein du gouvernement: c'est là que la lutte pour la parité commence.
Son influence se fait sentir aussi lorsque Najat Vallaud-Belkacem touche au thème de la prostitution, et prône son abolition avec ferveur... avant de reculer d'un pas. Elle a toujours été "plus offensive sur le sociétal" que sur d'autres sujets, d'après un portrait dressé par Libération où le mot "empathie" est cité deux fois pour la qualifier. Finalement, Najat Vallaud-Belkacem serait-elle trop empathique sur son domaine de prédilection pour être sa meilleure porte-parole?

mardi 5 mars 2013

Adios Comandante Hugo Chavez!

Mort de la légende du siècle!



Depuis quelques jours, l'issue ne faisait guère de doute. En dépit de communiqués "officiels" rassurants, le Venezuela s'était préparé à la mort de son héros. Les allers et retours de Hugo Chávez entre Caracas et La Havane ne trompaient plus personne. L'état de santé du Comandante était désespéré. Fin février, on apprenait que "son insuffisance respiratoire n'évoluait pas favorablement". Le 1er mars, le vice-président Nicolás Maduro estimait : "Notre président lutte pour sa vie." La semaine dernière, des rumeurs affirmaient qu'il était cliniquement mort. Qu'à cela ne tienne, les Vénézuéliens sont sous le choc. "Un mythe est mort", explique les larmes aux yeux Johan Novoa, un jeune commerçant coiffé d'une casquette Fidel Castro-Che Guevara-Hugo Chávez, tout en priant pour "rendre l'amour [qu'il a] reçu".

"Chávez coeur du peuple"

Il existait, et il existera sûrement encore longtemps, une connexion passionnelle entre Hugo Chávez et des millions de Vénézuéliens. Intitulé "Chávez, coeur du peuple", le dernier slogan de campagne du leader latino a tapé dans le mille. "C'est le premier président à s'être réellement préoccupé des pauvres", commente le journaliste révolutionnaire Miguel Ángel Pérez Pirela en évoquant les programmes sociaux impulsés par Chávez pendant ses 14 ans de pouvoir, qui ont permis de réduire drastiquement la pauvreté.

Carlos Vargas, militant du Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV), avance avec nostalgie une autre explication : "Chávez était un homme du peuple, il le connaissait et savait lui parler." Lui-même avait pris l'habitude d'affirmer : "Chávez, ce n'est pas moi, Chávez, c'est vous. Chávez est un peuple, un concept, le chavisme." Né en 1954 dans une famille très modeste des grandes plaines vénézuéliennes, deuxième d'une fratrie de six garçons, Hugo Chávez Frías a vécu une enfance difficile, "mais heureuse", selon ses propres mots. Il vendait des sucreries dans la rue pour aider sa famille et, comme des milliers d'autres jeunes, il s'amusait au base-ball en sortant de l'école. Au point d'avoir espéré devenir joueur professionnel. Cette légende dorée, Hugo Chávez l'a entretenue des années pendant son émission dominicale Aló Presidente, dans un style jugé "populiste" par l'opposition. Durant plusieurs heures, El Comandante exposait ses idées dans un langage simple ponctué de chansonnettes, de blagues et de petites histoires moralisatrices. "Chávez est un as de la communication directe, [c'est aussi] un affabulateur", concède l'écrivain Orlando Oramas León dans la préface des Cuentos del arañero (Contes du tisseur de toile), la compilation officielle des centaines de discours de Hugo Chávez.

El Comandante

Pour le grand public, le mythe de Hugo Chávez est né le 4 février 1992, le jour de son coup d'État manqué contre Carlos Andrés Pérez. En costume militaire, le commandant assume ses responsabilités en direct et engage ses compagnons à déposer les armes, leur expliquant que les objectifs poursuivis n'avaient pas été atteints, "pour l'instant". Le président Rafael Caldera élu en 1994 reconnaîtra que ce dernier lui avait "donné une excellente impression, comme à tout le monde. Ces quelques secondes qu'il a utilisées à la télévision montraient un homme équilibré, sensé."
Jeté en prison durant deux ans, Hugo Chávez continue d'éponger une soif de lecture qui ne l'a jamais quitté et peaufine son projet politique. C'est ici, loin des projecteurs, que sa popularité grandit. Progressivement, il fait naître le rêve d'une patrie nouvelle, "bolivarienne" du nom du "libérateur" historique du Venezuela face à la couronne espagnole, Simon Bolívar. C'est aussi pendant cette période qu'il prend goût au pouvoir. La professeur Herma Marksman, sa deuxième femme, explique l'avoir quitté à cette période pour cette même raison : "La popularité l'a changé, il est devenu une figure messianique."

Un démocrate aux manières de dictateur

Vingt ans plus tard, le Venezuela est couvert, des murs aux montagnes, du portrait de cet homme qui se croyait la réincarnation de Simon Bolívar. Le culte de la personnalité, mais aussi les atteintes aux droits de l'homme, les attaques répétées contre les médias d'opposition et la conception centralisée du pouvoir de Hugo Chávez en ont fait l'épouvantail de toute une partie des Vénézuéliens. Les deux dernières années de sa vie, El Comandante gouvernait essentiellement par décrets, laissant une très faible marge de manoeuvre à son gouvernement. "Sa gestion est devenue beaucoup plus autoritaire après le coup d'État dont il a souffert en 2002 et surtout à partir de sa seconde réélection, en 2006-2007, au moment de lancer le concept flou de socialisme du XXIe siècle", explique l'historienne Margarita Lopez Maia.

Surfant sur l'immense manne pétrolière, renationalisée en 2002 au prix d'un long conflit social, Hugo Chávez veut alors construire "un nouveau socialisme" basé sur "l'amour, la liberté et l'égalité". Il expérimente de nouvelles formes de production et relance la démocratie directe. À droite, dans un pays plus polarisé que jamais, les opposants hurlent au clientélisme et dénoncent les écueils de la révolution, principalement l'explosion de l'insécurité.

Bolivar et le "monde multipolaire"

Ce deuxième mandat, phase de radicalisation de la révolution socialiste, est aussi une période d'approfondissement du projet "bolivarien" de Chávez, celui d'unifier les peuples d'Amérique latine face à "l'empire américain". L'Alliance bolivarienne pour les Amériques, une alternative à la zone de libre-échange promue par les États-Unis, créée en 2006, est la première concrétisation du rêve de toute une vie. S'ensuit l'intégration à d'autres institutions régionales, comme le Marché commun du Sud (Mercosur), la Communauté d'États latino-américains et caraïbes (Celac) et la Banque du Sud. La perception d'un "monde multipolaire" de Hugo Chávez l'amène à développer de nombreux partenariats avec Cuba, la Chine et la Russie, mais aussi à soutenir des dirigeants critiqués par les démocraties occidentales, comme le Libyen Muammar Kadhafi et le Syrien Bachar el-Assad.

Son cancer, dont il est opéré une première fois en juin 2010, met un frein à ses ambitions de gouverner "jusqu'à 2021", date qu'il s'est donnée pour faire aboutir le projet socialiste. Il remet sa survie entre les mains des médecins cubains, mais aussi de Dieu. Lors de sa dernière apparition à la télévision, le 11 décembre 2012, le révolutionnaire embrasse de nouveau l'effigie du Christ. "Le semeur" désigne alors un successeur, son vice-président Nicolás Maduro, dans l'espoir de sauver la révolution. Converti en martyr par les uns, détesté et honni par les autres, Hugo Chávez a laissé une marque indélébile dans le paysage politique vénézuélien, américain et mondial. Les restes d'El Comandante vont désormais reposer aux côtés de son inspirateur, au mausolée Simon Bolívar.

Dates-clés :

⁃ 28 juillet 1954 - Naissance à Sabaneta, État de Barinas, Venezuela.

⁃ 4 février 1992 - Tentative de coup d'État avortée contre le président Carlos Andrés Pérez.

⁃ 6 décembre 1998 - Élu à la présidence vénézuélienne avec 56 % des voix, réélu en 2006 et 2012.

⁃ 19 décembre 1999 - Les Vénézuéliens acceptent la Constitution de la Ve République proposée par l'Assemblée constituante pro-Chávez, la "meilleure au monde", selon le leader latino.

⁃ 13 avril 2002 - Revient triomphant à Caracas après avoir contré un coup d'État.

⁃ 15 février 2009 - Les Vénézuéliens votent "oui" à une réforme de la Constitution permettant à Hugo Chávez de gouverner jusqu'à 2021.

⁃ 05 mars 2013 - Mort au Venezuela.

Véronique Genest est "un étron libre"

Ce lapsus est-il révélateur? Un étron est en fait une matitère fécale...un caca!

Invitée de « C à vous », l’émission vespérale de France 5, la comédienne Véronique Genest a signé un joli lapsus. Interrogée sur son positionnement politique, elle répond se définir comme « un étron libre », avant de se reprendre : « un électron libre, plutôt ». La comédienne, connue pour ses rôles dans la série de TF1 « Julie Lescaut » et dans les publicités pour le jambon Madrange, va se présenter à une élection législative partielle.
Se disant proche du « centre droit » mais connue pour des propos islamophobes tenus notamment sur Twitter, elle sera suppléante du journaliste Jonathan-Simon Sellem pour le poste de député des Français de l’étranger, circonscription Europe du Sud (de l’Italie à Israël). L’élection de la socialiste Daphna Poznanski-Benhamou en juin a été invalidée par le Conseil constitutionnel pour violation des règles sur le financement des campagnes.

dimanche 3 mars 2013

Scandales alimentaires!

Ségolène Royal, au Salon de l’agriculture, a déclaré que les choses allaient changer avec la crise dans l’agroalimentaire. Sa priorité, les circuits courts.

Il n'y a aucune raison que la viande parcourt 5.000 km, ça doit être terminé, c'est un scandale dès lors que nous avons des producteurs à proximité et à juste de prix » a lancé, hier, au Salon de l'agriculture Ségolène Royal, au côté du ministre délégué auprès du ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, Guillaume Garot, son protégé.
" Que cette crise serve à quelque chose "
La présidente du conseil régional est venue promouvoir le circuit court. Deux lauréats ont été récompensés de leurs efforts pour la mise en place de cette filière. Benoit Piron pour les « Vergers de Pirouette » de huit hectares exploités à Saint-Pardoux (Deux-Sèvres) selon le concept de bio cohérence, plus bio que bio. Aucun traitement chimique et un magasin fermier qui assure 40 % de la vente de sa production, le reste partant avec le groupement des consommateurs, les AMAP (Association de maintien pour l'agriculture paysanne).
La seconde, Stéphanie Tourneur, à la ferme du Mont d'or, situé à Le Thou (Charente-Maritime), pour son exploitation en conversion bio, une ferme céréalière avec un volet transformation en farine et pain. Elle aussi fonctionne avec les AMAP et possède une boutique à la ferme, qui vend sa production en direct. De la fourche à la fourchette, c'est possible. Et ça se passe en Poitou-Charentes à entendre le ministre délégué à l'agro alimentaire qui souhaite « remettre de l'ordre » après avoir souligné que la région Poitou-Charentes est la « plus avancée » dans cette filière pour soutenir les circuits courts. « C'est une filière d'avenir », a-t-il dit sur le stand de la région Poitou-Charentes. Un territoire, sur lequel les circuits courts auraient créé, selon Ségolène Royal, 1.200 emplois.
Des pionniers
C'est au député socialiste de la Vienne, Jean-Michel Clément, (dont le frère Laurent, agriculteur dans la Vienne, a raflé 5 premiers prix), à qui est revenu la charge d'apporter la conclusion à cette journée picto-charentaise qui a permis la rencontre entre les consommateurs et les producteurs. « Vous êtes les pionniers de l'agriculture à travers vos engagements. » Un engagement que la présidente de Région encourage : « Les choses sont en train de changer. Que cette crise serve à quelque chose pour imposer les nouvelles normes des circuits courts. »
Il n'y a aucune raison que la viande parcourt 5.000 km, ça doit être terminé, c'est un scandale dès lors que nous avons des producteurs à proximité et à juste de prix » a lancé, hier, au Salon de l'agriculture Ségolène Royal, au côté du ministre délégué auprès du ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, Guillaume Garot, son protégé.
" Que cette crise serve à quelque chose "
La présidente du conseil régional est venue promouvoir le circuit court. Deux lauréats ont été récompensés de leurs efforts pour la mise en place de cette filière. Benoit Piron pour les « Vergers de Pirouette » de huit hectares exploités à Saint-Pardoux (Deux-Sèvres) selon le concept de bio cohérence, plus bio que bio. Aucun traitement chimique et un magasin fermier qui assure 40 % de la vente de sa production, le reste partant avec le groupement des consommateurs, les AMAP (Association de maintien pour l'agriculture paysanne).
La seconde, Stéphanie Tourneur, à la ferme du Mont d'or, situé à Le Thou (Charente-Maritime), pour son exploitation en conversion bio, une ferme céréalière avec un volet transformation en farine et pain. Elle aussi fonctionne avec les AMAP et possède une boutique à la ferme, qui vend sa production en direct. De la fourche à la fourchette, c'est possible. Et ça se passe en Poitou-Charentes à entendre le ministre délégué à l'agro alimentaire qui souhaite « remettre de l'ordre » après avoir souligné que la région Poitou-Charentes est la « plus avancée » dans cette filière pour soutenir les circuits courts. « C'est une filière d'avenir », a-t-il dit sur le stand de la région Poitou-Charentes. Un territoire, sur lequel les circuits courts auraient créé, selon Ségolène Royal, 1.200 emplois.
Des pionniers
C'est au député socialiste de la Vienne, Jean-Michel Clément, (dont le frère Laurent, agriculteur dans la Vienne, a raflé 5 premiers prix), à qui est revenu la charge d'apporter la conclusion à cette journée picto-charentaise qui a permis la rencontre entre les consommateurs et les producteurs. « Vous êtes les pionniers de l'agriculture à travers vos engagements. » Un engagement que la présidente de Région encourage : « Les choses sont en train de changer. Que cette crise serve à quelque chose pour imposer les nouvelles normes des circuits courts. »

Apartheid en Palestine!

"Mandela, ton combat n'est pas fini"!


Des bus « Only Arabes » dès lundi en Israël:
A partir de lundi, plusieurs lignes de bus reliant la Cisjordanie et la bande de Gaza au centre d’Israël sépareront leurs passagers juifs et arabes. Concrètement, la compagnie Afikim interdira aux Arabes de monter dans certains bus réservés aux Juifs.
Haaretz relève que les autorités publiques ne parlent pas « officiellement » de ségrégation. En novembre dernier, le quotidien rapportait déjà que le ministre des Transports étudiait un projet similaire, sous la pression de représentants de colonies qui se plaignaient que les Palestiniens empruntant leurs bus représentaient un danger.