Mounir GRAMI

Réconcilier la France, pour une société meilleure, un Monde en Paix!

vendredi 26 juillet 2013

A qui profite le crime?

Comme Chokri Belaid, Mohamed Brahmi etait un homme courageux, engage contre le sionisme et opposant a une alliance avec Nidaa Tounes au sein du Front Populaire! Paix a son ame.



Pour nous rapprocher du criminel, posons la question "a qui profite le crime". Les sionistes sont partout et sont capables de tout. Souviens toi du 11/09/2001! Je n'ai pas changer depuis chokri belaid, j'avais dis la meme chose a l'epoque, un jour la verite eclatera. Bien qu'ennahda est responsable de cette atmosphere mais strategiquement l'assassin est ailleurs. On nous prepare un coup d'Etat en tunisie pour bloquer le processus democratique comme en Egypte. On a vu dans le passe ce dont sont capables les destouriens et rcdistes pour garder le pouvoir! Farhat Hached a ete tue par les siens et Bourguiba n'etait pas innocent dans cette affaire. Je pense que Coluche homme de gauche, n'a pas ete tue par la droite et l'extreme droite. Mitterand est derriere cela...et le suicide de son premier ministre Pierre Beregovoy? Il y a des choses qui nous depassent. En politique, mefies-toi de tes adversaires mais surtout de tes camarades!

mercredi 10 juillet 2013

La famile royale, ennemi de l'islam et de la démocratie?

L’Arabie saoudite promet 5 milliards de dollars d'aide à l'Égypte.     

L’Arabie saoudite promet 5 milliards de dollars d'aide à l'Égypte                  

Six jours après la destitution de Mohamed Morsi, l’Arabie saoudite a annoncé ce mardi qu’elle allait soutenir l’économie de l'Égypte, instable depuis la révolution de 2011, en faisant un don de 5 milliards de dollars.         

 
L'Arabie saoudite a annoncé, mardi 9 juillet, l'octroi d'une aide de 5 milliards de dollars à l'Égypte pour soutenir l'économie du pays, six jours après la destitution par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi.
Selon l'agence officielle Spa, l'aide, décidée par le roi Abdallah, consiste en un dépôt, sans intérêt, de deux milliards de dollars à la Banque centrale d'Égypte, un don d'un milliard de dollars et l'équivalent de deux milliards en produits pétroliers et gazier. Le ministre saoudien des Finances, Ibrahim al-Assaf, cité par l'agence Spa, a précisé que l'aide de Ryad était destinée à "soutenir l'économie de l'Égypte face aux défis que rencontre ce pays".
Favorable à la destitution de Morsi, le monarque saoudien Abdallah a été le premier chef d'État étranger à féliciter le président par intérim Adly Mansour, quelques heures après sa nomination.
Les Émirats arabes unis également "aux côtés de l'Égypte"
Plus tôt dans la journée, les Émirats arabes unis s’étaient déjà engagés à apporter une assistance financière de 3 milliards de dollars au pays : une aide d'1 milliard de dollars et un prêt sans intérêt de deux milliards aux nouveaux dirigeants égyptiens. L’aide totale apportée à l’Égypte s’élève donc à 8 milliards de dollars.
"Les Émirats sont convaincus que le peuple égyptien aura la capacité de surmonter la passe difficile qu'il traverse et relever les défis", a déclaré le conseiller à la sécurité nationale des Émirats, cheikh Hazaa ben Zayed Al-Nahyane, en déplacement au Caire. "Les Émirats se tiennent aux côtés de l'Égypte et de son peuple en ce moment crucial de leur histoire", a-t-il ajouté.
L'Égypte est plongée dans un marasme économique et financier aggravé par l'instabilité politique qui prévaut dans le pays depuis la chute d'Hosni Moubarak en février 2011.

mardi 9 juillet 2013

Baradei Vice-Président et la démocratie?

Mohamed El-Baradei, sauveur de l’Egypte ou agent de l’Occident ?

 
 
Sa nomination comme premier ministre égyptien a d’abord été annoncée samedi, puis démentie pendant que se poursuivent d’intenses tractations de coulisse. Mais Mohamed El-Baradei est incontestablement l’un des hommes-clé de cette « deuxième révolution » aux allures de coup d’Etat militaire, qui a renversé le président islamiste Mohamed Morsi.
C’est une deuxième chance pour l’ancien Directeur général de l’Agence internationale de l’énergie nucléaire (AIEA), prix Nobel de la paix 2005, âgé de 71 ans, qui avait pu croire son heure arrivée après le départ d’Hosni Moubarak, en février 2011, lorsqu’il espérait fédérer les opposants non-islamistes. Il dut toutefois renoncer à se présenter à l’élection présidentielle, remportée par le représentant des Frères musulmans, Mohamed Morsi.
Ces derniers jours, il a été adoubé par l’opposition pour la représenter, et en particulier par le mouvement Tamarrod (« rebelle ») à l’origine des manifestations de masse du 30 juin, et est le choix numéro un du président par intérim nommé par l’armée, Adly Mansour.

Trop « cosmopolite » et « laïc »

Mais Mohamed El-Baradei, issu d’une famille d’avocats déjà opposée à l’autoritarisme dans sa version nassérienne, s’est acquis de solides inimitiés du côté des islamistes, en particulier salafistes, qui voient en lui un « cosmopolite », trop laïc pour être honnête et surtout pour ne pas être un agent de l’Occident et de ses valeurs.
Le site de RFI rappelait les accusations dont il a fait l’objet :
« Le Prix Nobel de la paix avait été accusé d’être un “ laïc extrémiste ”. Une campagne de dénigrement avait même eu lieu sur les médias sociaux montrant la fille d’El-Baradei en maillot de bain ou l’ancien directeur de l’AIEA à table avec un verre de vin devant lui. »
Un leader salafiste a également souligné que Mohamed El-Baradei était plus connu dans les salons du Caire que dans les campagnes égyptiennes, une manière de rappeler qu’il a passé trois décennies à l’étranger, notamment dans le système des Nations-Unies, pendant que les Egyptiens souffraient de la dictature.
Le prestige dont est auréolé Mohamed El-Baradei sur le plan international n’est en effet que de peu de soutien à l’intérieur de l’Egypte. Il est pourtant basé sur un authentique fait de gloire : s’être opposé à l’administration Bush lorsque celle-ci a voulu légitimer son attaque de l’Irak, en 2003, avec de fausses preuves sur les armes de destruction massive de Saddam Hussein.
En première ligne sur le front de la vérification, l’AIEA a tenté pendant des mois de batailler avec Washington sur la validité de ses preuves. Sans succès, puisque le rouleau compresseur de l’intervention américaine était en marche.

En Irak : « aidez-nous à vous aider »


Le livre de Mohamed El-Baradei
Dans son livre « The Age of Deception, Nuclear Diplomacy in Treacherous Times » (éd. Picador), Mohamed El-Baradei raconte sa dernière visite à Bagdad, un mois avant le déclenchement de la guerre d’Irak par l’administration américaine.
Accompagné de l’expert onusien Hans Blix, il est invité à dîner par le ministre irakien des Affaires étrangères, auprès de qui il plaide pour la dernière fois : « aidez-nous à vous aider ».
La réponse du ministre de Saddam Hussein est éloquente :
« Soyons francs. D’abord, nous ne pouvons rien vous donner de plus car il n’y a rien à donner. Mais surtout, vous ne pouvez pas nous aider, car cette guerre aura lieu, et ni vous ni moi ne pourrons l’empêcher. Nous le savons tous les deux. Quoi que nous fassions, c’est une affaire entendue ».
Cet épisode lui vaudra de solides inimitiés dans le camp des américains, mais il sera récompensé du prix Nobel de la paix en 2005, au nom de l’AIEA, officiellement pour son travail contre la prolifération nucléaire, mais symboliquement pour avoir dit la vérité quand le mensonge d’Etat était la norme.
Bush parti, le rôle de Mohamed El-Baradei a été réhabilité, y compris à Washington où il est très respecté, et même courtisé. Au point d’apparaître aujourd’hui comme le « choix de Washington » dans l’échiquier politique égyptien, ce dont se défend évidemment Barack Obama.
Mohamed El-Baradei n’a jamais cessé de jeter un oeil vers l’Egypte, même lorsqu’il était dans son bureau cossu de Vienne, où siège l’AIEA. Il a souvent été cité comme alternative possible à Moubarak, mais n’a jamais sauté le pas de l’opposition frontale.

Retour en Egypte

Jusqu’en 2010, lorsqu’il est rentré en Egypte après avoir démissionné de l’AIEA, sans savoir que quelques mois plus tard, le régime de Moubarak s’effondrerait sous les coups de butoir de la rue. A son retour, des dizaines d’étudiants sont venus l’accueillir et lui faire la fête, plaçant en lui des espoirs de modernisation et de libéralisation.
En deux ans et demi de révolution, l’opposition non-islamiste n’a jamais réussi à faire front commun, et a laissé le terrain libre aux Frères musulmans, aux salafistes et à l’armée, les seules forces réellement organisées.
Ce n’est plus le cas aujourd’hui, peut-être temporairement, et c’est autour de ce septuagénaire à la stature internationale incontestée, technocrate autant que politique, que reposent les espoirs de ceux qui souhaitent remettre cette révolution ambigüe sur des rails démocratiques.
C’est beaucoup pour un seul homme, qui doit déjà franchir la première étape d’une nomination dans un contexte violent et confus, dans un pays au bord du chaos.

Le Ramadan, c'est maintenant!

رمضان مبارك

 
 

N'oubliez pas d'offrir un repas pour tous!

 

L'UGTT se tire une balle dans le pied!

L'opposition Tunisienne allant du Front Populaire à Nidaa Tounes savoure la chute de Morsi,
ils souhaitent le même scénario en Tunisie, c'est à dire bloquer le processus démocratique!


Le bureau exécutif de l'Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) a félicité le peuple égyptien, dans un communiqué publié ce jeudi 4 juillet 2013, pour avoir imposé sa légitimité et sa volonté grâce à son unité et sa détermination et la clarté de ses revendications, rappelant que c’est le peuple qui donne la légitimité et qui la retire chaque fois que les gouverneurs oublient les acquis de la révolution et leurs promesses électorales. Il a salué, dans ce contexte, l’armée égyptienne et les forces de sécurité qui se sont ralliées pour soutenir la volonté du peuple.

La centrale syndicale note avec soulagement la chute d’un modèle de gouvernance qui a dévié de sa trajectoire, voulant monopoliser la décision et imposer l’exclusion et la sédition, pour servir des intérêts partiaux, oubliant les revendications de la révolution et empruntant le chemin d’une nouvelle dictature. Elle appelle les forces vives de l’Egypte à préserver le caractère pacifique de leur lutte contre la tyrannie et la dictature et à épargner le pays une spirale de violences et le spectre du terrorisme, tout en maintenant l'unité du pays et en éloignant l’armée des interactions politiques.

L’UGTT souligne l’importance de parvenir à un consensus pour la période transitoire pour garantir le processus démocratique et l’accomplissement des objectifs de la révolution de liberté, de développement et d’équité.

dimanche 7 juillet 2013

François Hollande en Tunisie!

A l'occasion de sa visite en Tunisie, le Président de la République Française a rencontré les différents représentants des partis politiques tunisiens. Cette image symbolise l'Alliance pour la Tunisie entre le Front Populaire, Al Massar, Al Joumhouri et Nidaa Tounes! Comment peut-on conjuguer un programme libéral d'un programme protectionniste, comment conjuguer une position antisioniste et une proximité avec les amis d'Israël et surtout comment parler d'écologie avec des hommes d'affaires qui défendent l'extraction du Gaz de Schiste. Vous me répondrez que l'objectif est de faire tomber Ennahda, mais cela ne fait pas un programme cohérent et sincère pour les tunisiens.
Jack Lang, Bertrand Delanoê, Ahmed Barhim, Beji Caid Essebsi, François Hollande, Ahmed Nejib Chebbi, Hamma Hammami...il manque plus que Domnique Strauss Kahn!

jeudi 4 juillet 2013

Coup d'Etat en Egypte contre Morsi!

Ce qui ce passe en Égypte est très grave!!!
Je ne porte pas le Président Morsi dans mon cœur mais merde, il a été élu!!!
Ce qui se réjouissent du coup d’État militaire sont les ennemis de la démocratie...les vrais démocrates et progressistes auraient attendu les urnes pour le destituer.
L’Armée soutenue par les occidentaux a pourtant laissé au pouvoir Moubarak en Égypte, Ben Ali en Tunisie...
Imaginer qu'on sorte François Hollande de l’Élysée par la force.
Cet événement marquera l'histoire et le monde arabo-musulman est humilié une fois de plus. La révolution n'a plus de sens!
Souvenez-vous quand le Fatah d'Arafat voulait la Paix, on l'a tué;
quand le Hamas a gagné les élections on ne l'a pas reconnu;
cette démocratie à géométrie variable va crée de nouveaux conflits afin de mieux diviser les peuples.

mardi 2 juillet 2013

Contre le génocide en Birmanie!

Manifestation contre le massacre des minorités en Birmanie Samedi 06 Juillet 2013 à 14h à Paris 
Parcours de la Manif :
1. Barbès – Rochechouart, Paris
2. Bd de Magenta
3. Place de la République
4. Rue de Turbigo
5. Rue Pierre Lescot
6. Fontaine des Innocents, Paris






LA COMMUNAUTÉ LA "PLUS PERSÉCUTÉE AU MONDE", SELON L'ONU !

Qui sont les Rohingyas ?

Les Rohingyas sont une minorité ethnique de confession musulmane, vivant dans un pays à majorité bouddhiste, dans l’état d’Arakan en Birmanie.
La présence des Rohingyas dans la région de l’Arakan remonte au moins au 7e siècle, bien avant l’arrivée des Rakhines de confession bouddhiste que les historiens situent à partir du 10e siècle.

Des décennies de répression et de discrimination !

Une vraie politique de répression et de déportation a été entreprise à l’encontre des Rohingyas pour les expulser vers les pays limitrophes, depuis les années 1970.

En 1982, une loi relative à la citoyenneté déchoit les Rohingyas de leur nationalité birmane.

Depuis, la junte militaire birmane entreprend un programme d’épuration ethnique et religieuse contre cette communauté, qui se voit injustement accablée de tous côtés : absence de liberté de circulation, travail forcé, règles de mariage injustes, planning familial imposé, restrictions administratives, difficultés d’accès à l’éducation et à la santé, exclusion politique et religieuse, humiliations, mauvais traitements, confiscation des terres et des biens, taxes arbitraires, viols, tortures, exécutions sommaires, etc.

Une nouvelle montée de violences à l’encontre de cette minorité…

Depuis le début du mois de juin, cette minorité est à nouveau victime de violences meurtrières et d’attaques ciblées par des bandes terroristes de bouddhistes extrémistes armées, soutenues par les forces de sécurité et l’armée birmanes et sous l'oeil bienveillant de la junte au Pouvoir. Tout cela, dans le silence le plus total de la classe médiatico-politique internationale.

Dans un rapport paru le 1er août 2012, Human Rights Watch pointe du doigt la situation alarmante de la minorité Rohingya en Birmanie. On estime que "plus de 100 000 personnes en errance et manquant cruellement d'aide alimentaire, d'un abri et de soins médicaux ". Selon Nurul Islam, président de l’Arakan Rohingya National Organization (ARNO), on a recensé ''plus de 1 000 civils Rohingyas morts et plus de 14 villages incendiés, en seulement 10 jours de persécution'' !

Une autre minorité, de confession chrétienne celle-là, dans l’état de Kachin, se fait elle aussi persécuter par la dictature birmane : les Kachins, qui contrairement aux Rohingyas, possèdent un groupe armé rebelle, le Kachin Independence Organization (KIO), et sont par conséquent plus à-même de défendre leur peuple.

Les crimes commis par le régime birman à l’encontre des minorités cachent d’autres raisons nettement moins religieuses, à savoir s’accaparer des richesses des deux états avec la complicité des grandes puissances…

La communauté Rohingya abandonnée à son sort !

Devant l’horreur, les Rohingyas contraints de fuir le pays, se retrouvent refoulés par les gardes-frontières du Bangladesh, qui récemment, a demandé aux ONGs (Organisations Non Gouvernementales) de suspendre les aides aux réfugiés Rohingyas qui réussissent à franchir les frontières.

Devant l’ampleur de la catastrophe humanitaire, une intervention de la communauté internationale s’impose !

La mobilisation se manifeste timidement un peu partout dans le monde, mais malheureusement pas assez pour mettre la pression sur le régime voyou birman, d’où la nécessité de nous rassembler et de réunir nos voix afin de dénoncer cette criante injustice et exiger la cessation de ces atrocités, un accès libre aux victimes pour les organisations humanitaires et la protection de la population Rohingya, et en profiter pour dénoncer le silence assourdissant de nos médias nationaux à ce sujet.

Soyons donc nombreux, et crions fort d’une seule voix : « HALTE AU MASSACRE EN BIRMANIE !!! »

Collectif Halte au Massacre en Birmanie