Mounir GRAMI

Réconcilier la France, pour une société meilleure, un Monde en Paix!

mercredi 29 mai 2013

C'est la CGT qui le dit!

Photo : Pour une fois que j'apprécie un slogan de la CGT, je partage bien volontiers ...

L'inversement des saisons, c'est maintenant!

Photo : Bon ! Ben ! Ça c'était avant .... 2012.
Non mais allô quoi !
Vivement le 25 décembre et 37 *...

L'Argentine se retourne contre le Mossad

L'Argentine se retourne contre le Mossad: le destin de l'Occident pourrait basculer
La situation est tout à fait inédite et ne s'explique que si c'est Obama qui a encouragé l'Argentine à se tourner résolument vers l'Iran. Le président Obama, sur ce dossier, pousse très loin l'offensive contre Israël. Si l'on tient compte du fait qu'il semble bien négocier avec l'Iran, la Russie et la Syrie un Yalta visant à réduire définitivement l'emprise israélienne sur le Moyen Orient (http://www.voltairenet.org/article177546.html), la situation est extrêmement dangereuse pour lui, et on ne peut que saluer le courage et l'audace du président américain. Le dernier président US à avoir fait face à Israël était J. F. Kennedy...

En attendant de pouvoir assassiner Obama, réduire l'Iran en cendres et déclencher l'apocalypse sur toute la planète, les Israéliens expriment vigoureusement leur colère. Qu'on en juge: le dirigeant communautaire local Burger a même menacé publiquement la présidente d'un troisième attentat, après celui de 1994 et celui de 1992 (contre l'ambassade israélienne). Comme elle répondait avec une maîtrise parfaite à ce que toute l'Argentine a interprété comme une menace de mort contre sa personne (après Arafat et peut-être Chavez, quoi de plus plausible ...) "ah bon, et comment le savez-vous, et qui en seraient les commanditaires?", les organes juifs s'égosillent maintenant sur le thème plus consensuel d'après eux: le troisième attentat, c'est maintenant, sous nos yeux, c'est l'attentat culturel, les juifs argentins sont bafoués dans leur existence et dans leur essence même etc. Bref, "l'Holocauste argentin", chapitre 3, aurait lieu sous nos yeux, en ce moment même, dans l'indifférence complète du monde. A un détail près: c'est le Mossad qui avait organisé les deux attentats à la bombe de 1992(23 morts) et 1994 (85 morts), l'enlisement des enquêtes, et l'accusation absurde de l'Iran. Voici l'état de la question à ce jour, selon les spécialistes argentins eux-mêmes (voir les contributions d'Adrian Salbuchi, Juan Gabriel Labake, José Petrosino mises en ligne le 7 février 2013 par LTV1 : http://youtu.be/i2weV2LUaic) .

1. Quelques faits

Il est établi par le centre de recherche en explosifs de l'université de Tucuman, que l'explosion de 1994 a eu lieu à l'intérieur du bâtiment de l'AMIA. Il suffisait d'ailleurs, dès le premier jour, de voir la photo des dégâts, les débris ayant été projetés à l'extérieur. Plusieurs témoins ont déclaré sous serment qu'aucune camionnette blanche Renault n'était arrivée sur les lieux, contrairement à l'affirmation immédiate des Israéliens.

Il est établi que c'est un officier du Mossad israélien qui a apporté, en avion, avec la commission d'enquête israélienne, un morceau de moteur dont on a voulu faire croire que c'était le reste de la camionnette piégée qui aurait été conduite par un terroriste arabe. Renault a identifié la pièce en question, provenant d'une voiture qui n'avait subi aucune déflagration. D'autres débris "trouvés" sur les lieux provenaient d'autres voitures encore.
Un témoin argentin a vu la personne qui, au carrefour le plus proche, a appuyé sur un détonateur, provoquant la déflagration. Ce témoignage a été validé par la commission d'enquête argentine. L'authentique terroriste, jamais recherché, avait le type européen, comme un autre personnage, le premier à avoir affirmé aux passants terrifiés que l'explosion était partie d'une camionnette blanche, Renault; celui-ci s'était promené sur les lieux aussitôt après l'explosion, mettant mal à l'aise les autres personnes qui avaient accouru parce qu'il ne semblait nullement ému; et il emporta tranquillement le contenu d'un grand sac, vidé puis rempli sur les lieux, sans être inquiété, grâce à la confusion générale et au retard des autorités pour interdire l'accès aux lieux.

Une semaine plus tard, les services israéliens ont creusé un trou dans la chaussée, et ont annoncé avoir trouvé le cratère correspondant à la voiture piégée (qui n'a jamais existé). Les enquêteurs argentins ont beaucoup ri.
Le jour de l'explosion, des sacs "de ciment" venaient d'être livrés, à l'entrée du bâtiment: aucune enquête à ce sujet, mais un Syrien fut plus tard accusé d'avoir livré des explosifs... à un membre du Hezbollah libanais qui... ne savait pas conduire ... se trouvait au Liban à la date des faits .. a été tué par les Israéliens deux mois plus tard... et aurait été doué d'ubiquité, ce qui lui aurait permis de commettre un attentat suicide à Buenos Aires, avec le succès que l'on sait.

En 1992, avait eu lieu la répétition générale : l'attentat contre l'ambassade israélienne avait été aussitôt présenté par les Israéliens comme provenant d'une voiture piégée inexistante, des sacs "de ciment" venaient d'être livrés, comme en 1994, et l'explosion eut lieu à l'intérieur du bâtiment. Apparemment, on remit le couvert parce que le président Menem n'avait nullement remis en question les accords de coopération de l'Argentine avec l'Iran à la suite du premier attentat. Après le deuxième, il fut un peu plus docile, et indemnisa sans tortiller l'AMIA à la hauteur des millions demandés.

2. L'enquête.

Le président Menem, d'origine syrienne, tenait à se faire bien voir des Israéliens. C'est ainsi que son premier voyage présidentiel fut pour Tel Aviv, et non pour Damas, comme il l'avait promis pour attirer le vote des Levantins. Il consentit à laisser le champ libre aux enquêteurs israéliens, tout comme en 1992 d'ailleurs. Israël le remercia à sa façon, quelques années plus tard, l'accusant d'avoir été complice de l'attentat, à la tête d'une "connexion locale" syrienne, faisant du trafic d'armes...

Le juge Galeano fut prié par un agent israélien d'accuser un revendeur de voitures d'avoir fourni la voiture piégée (inexistante); il remit 400 000 dollars au dit revendeur pour se prêter au jeu, et accuser à son tour des policiers argentins (du bord opposé au parti politique de Menem, le président en place). Cette scène a été filmée (par des acolytes des policiers visés), à l'insu des deux personnes en question! On trouva sur l'agenda du revendeur le mot "Iran", d'une autre écriture que la sienne; il avait été mis sur écoute plusieurs jours avant l'attentat. Bref, dès le départ, il avait été choisi pour le rôle de coupable d'avoir fourni une voiture qui aurait été piégée. Mais il se débat fort bien depuis le départ, et il a survécu! Il est devenu le légendaire Telledin, que les Argentins appellent le "Lee Oswald" de l'affaire; il a fait dix ans de prison, après quoi il a été blanchi de toute accusation et relaxé, tandis que le juge était destitué, simplement.

En 2002, lorsqu'Israël et la Syrie semblaient trouver un accord sur la question du Golan, la piste iranienne fut réactivée. Un procureur fut nommé pour reprendre l'enquête à zéro, et répondit aux sollicitations israéliennes en faisant poursuivre l'ancien président de l'Iran, le ministre actuel de la défense, le chargé d'affaires à l'ambassade d'Iran à Buenos Aires et d'autres personnes également respectables. L'une d'entre elles, l'ambassadeur Soleimanpour, arrêté à Londres par Interpol, fut ensuite relâché et indemnisé, parce qu'il n'y avait pas l'ombre d'une preuve pour l'inculper. L'Argentine dut payer 280 000 dollars de frais de justice, et l'indemnisation.

Le dit procureur, toujours en activité, continue à demander l'extradition de 7 Iraniens, mais ne fournit toujours pas l'ombre d'une preuve aux autorités iraniennes afin que celles-ci puissent les juger et décider éventuellement de les remettre à la justice argentine. Les soi-disant témoins iraniens qui ont désigné les dites personnalités sont 12 moujahidines, mouvance terroriste explicitement reconnue comme telle par de nombreux pays, et ils sont recherchés par l'Iran; l'un d'entre eux est prisonnier de la CIA, en Allemagne, actuellement.

On comprend que les associations de défense des victimes désespèrent de la justice argentine: l'enquête sur le premier attentat a été tout simplement abandonnée, dès que la piste de la camionnette s'est révélée n'être qu'un bobard israélien; mais, correctement manipulées, ces associations n'envisagent pas encore d'autre explication à leur malheur que l'antisémitisme des néonazis locaux, qui ourdiraient constamment de savants complots, avec le soutien occulte des gouvernements successifs.

3. Les relations Iran Argentine

L'Argentine avait d'excellentes relations commerciales avec l'Iran, et depuis les années 1990, le volume des exportations argentines vers l'Iran, considérable, a plus que doublé. Cela comportait à une époque, sans rupture entre l'Iran du shah et l'Iran de Khomeiny, la vente d'armes, et de technologie nucléaire. Or, sous la pression des USA, dès 1989, l'Argentine avait mis fin à la coopération nucléaire avec l'Iran, qui s'était tourné avec succès vers la Chine. Voilà ce qui insupporte Israël: les attentats n'avaient nullement altéré le flux global des échanges! Il aurait évidemment été absurde de la part de l'Iran, d'avoir organisé des attentats à Buenos Aires, alors que l'Argentine est son premier partenaire en Amérique latine, de loin.
En 2006, malgré l'échec retentissant de l'accusation contre Soleimanpour en 2003, Israël a remporté une victoire en obtenant que le président Kirchner accuse publiquement l'État iranien lui-même, ce qui est aussi grave que rare.
En acceptant la constitution d'une commission mixte Iran-Argentine, le gouvernement argentin vient donc bel et bien d'effectuer un virage à 180°, après une vingtaine d'années passées à obéir à des degrés divers aux injonctions israéliennes, à ses dépens. Le ministre des Affaires étrangères, Hector Timmerman, y joue une excellente partition. Juif lui même, fils d'un célèbre intellectuel de gauche ayant combattu la dictature militaire, puis devenu très critique contre Israël, il ne cesse de rappeler que les juifs argentins sont argentins, et que les Israéliens n'ont pas à faire la loi en Argentine...

Les gouvernements argentin et iranien ont depuis longtemps signé le traité international de coopération pour lutter contre le terrorisme; les Israéliens n'arrivent pas à obtenir que l'un ni l'autre le piétine, non plus que les lois nationales en vigueur, pour provoquer un casus belli.

Comme le répète le professeur Juan Gabriel Labaké, les attentats de 1992 et 1994 furent les derniers d'une série de 17 attentats sous faux drapeau organisés et commis par Israël à partir des accords d'Oslo, avec des aspects techniques semblables (le premier à l'avoir affirmé, en montrant la logique sioniste à l'œuvre, le chercheur Nestor Ceresole, est mort brutalement à la suite de troubles gastriques, en 2003). Le résultat immédiat en a été un traumatisme certain pour les Argentins, juifs et non juifs, qui ont été embarqués sur un "chemin mental tracé d'avance", ou, comme le dit Art Oliver dans le contexte du 11 septembre, dans une "opération terreur". Jamais deux sans trois: pendant presque 20 ans, ils ont été paralysés par la terreur, dans l'attente de quelque chose de pire encore que leurs deux attentats "antisémites". Mais désormais le journal de gauche Pagina 12 soutient les initiatives du gouvernement, certainement soutenu à son tour par l'administration Obama, et le coût politique des crimes israéliens contre l'Argentine peut s'avérer immense...

La responsabilité précise des dirigeants communautaires complices de l'assassinat d'une centaine de personnes au total, juifs et non juifs, dont un prêtre catholique (dans l'attentat de 1992), et sans compter les blessés, reste à établir avec précision. Mais déjà le ministre Timmerman pointe du doigt Rubén Beraja, le Madoff argentin, bel et bien condamné et emprisonné un temps pour avoir conduit l'Argentine à la débâcle financière de 2003, avec les malversations de la banque qu'il avait créée, alimentée par des fonds de pension, escroc notoire mais néanmoins autorité religieuse et président de la DAIA à l'époque des faits (le Crif local, officiellement en charge de l'amitié Israël-Argentine). Et le ministre Timmerman ajoute que ceux qui s'opposent aujourd'hui à la commission d'enquête mixte agissent à la façon du sinistre Beraja..., celui-là même qui avait répandu de colossaux pots-de vin pour détourner l'enquête (voir http://www.voltairenet.org/article162827.html)

Quoiqu'il en soit, on s'étonne du côté "travail d'arabe" d'un montage sous faux drapeau incroyablement bâclé. Décidément, la force du Mossad n'est pas dans l'art du camouflage; mais principalement dans l'art maffieux de la tuerie aveugle et du graissage de pattes. Et, l'humanité étant ce qu'elle est, cet art a ses limites.

Le Congrès argentin doit valider prochainement la constitution de la commission mixte, qui donnera l'occasion à l'Iran de désigner les vrais coupables, fort peu discrets au demeurant. La presse iranienne signale les points communs entre les opérations de Buenos Aires et le récent attentat sous faux drapeau en Bulgarie. Tuer de la piétaille juive n'a jamais gêné le Mossad; ils supposent toujours que cela va ramener vers Israël les juifs pas assez sionistes à leur goût. "The recent terrorist attack against Jews in Bulgaria was a similar scenario, through which Israel repeated its false accusations against the Lebanese resistance movement Hezbollah and called on the European Union to put the group on its list of terrorist organizations. Thus, the Iran-Argentina truth commission could expose Israel’s false-flag terrorist operations and treacherous machinations of the past 20 years." (http://tehrantimes.com/opinion/105896-iran-and-argentina-deal-a-serious-blow-to-zionists) A suivre...

Médaille d’Or pour l’huile d’olive tunisienne à New York!







huile-d-olive-tunisie

The Olive Oil Times, la compétition internationale de l’huile d’olive – l’un des événements les plus significatifs dans le monde de l’huile d’olive – a eu lieu au Centre international culinaire de New York, le 16 avril 2013.
A l’entrée, 702 catégories d’huile d’olive extra vierge dont 653 catégories provenant de 22 pays sélectionnés. Vingt pays ont quitté la compétition avec 260 médailles  « le meilleur de la catégorie, Or et Argent ». Le pays ayant remporté plus de prix a été l’Italie  avec 83 médailles (dont 51 Or). Vient ensuite l’Espagne avec 51 médailles (37 Or) suivie des Etats-Unis 36 médailles ( 21 Or).
La Tunisie a également eu sa part de gâteau en empochant une médaille d’or pour l’huile d’olive extra vierge Modolea , pressée de la variété Chetoui à moyenne intensité. Selon le jury de la compétition la Modolea est ‘’ l’une des meilleures huiles d’olive extra vierges du monde pour 2013’’.

Quand Ségolène dit tout haut ce que je disais aussi!

Invitée de l'émission "La voix est libre", sur France 3 Poitou-Charentes, Ségolène Royal s'est désolidarisée, samedi 25 mai, de la politique du gouvernement sur la question du mariage homosexuel.

"Je ne suis pas dans la confrontation. Les manifestations ont duré trop longtemps, le débat a duré trop longtemps. Ce texte n'était ni dans mon projet de 2007, ni dans celui des primaires. Mon programme, c'était l'égalité des droits mais pas en donnant le nom de mariage. En faisant l'union civile avec égalité des droits, mais pas avec le nom de mariage, ça faisait des étapes et ça n'aurait pas conduit à des confrontations comme ça", a déclaré la vie-présidente de la Banque publique d'investissement.
Dans un entretien au Monde, l'ex-compagne de François Hollande, également candidate à l'élection présidentielle de 2007, avait déjà critiqué l'action du gouvernement.

Hana Attalah, Archevêque de Jérusalem à Lyon

Meeting pour la Palestine: — à Espace Viviani. Photo : Avec Hana Attalah, Archevêque de Jérusalem
Meeting pour la Palestine:

Internationale Socialiste: club des dictateurs?

Le saviez-vous?
le Rassemblement Constitutionnel Démocratique de Ben Ali (Tunisie),
le Parti National Démocratique de Hosni Moubarak (Égypte),
le Front Populaire Ivoirien de Laurent Gbagbo (Côte d'Ivoire),
le Parti Socialiste Français étaient membre de l'Internationale Socialiste!

Le FN élu grâce au PS?


Des élus socialistes soupçonnent leurs collègues du Vaucluse d'avoir maintenu leur candidate pour assurer la victoire du FN dans la triangulaire. En échange, le FN avait prévu de faire de même dans la circonscription voisine. Mais la direction du PS nie toute entente d'une de ses fédérations avec le parti d'extrême droite.
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Le Vaucluse a-t-il été le théâtre d'arrangements secrets entre le PS et le FN, qui ont abouti à l'entrée de Marion Maréchal-Le Pen à l'Assemblée nationale? Ce soupçon d'entorse au front républicain ferait l'objet d'une enquête de la part du siège parisien du PS, révèle L'Express . Un rapport devrait être remis en fin de semaine à Harlem Désir. Au cœur de ce marché présumé, dont la thèse «est défendue par des socialistes repentis», écrit l'hebdomadaire, «un échange de bons procédés».
En juin 2012, à l'issue du premier tour, les conditions pour une triangulaire entre les candidats FN, PS et UMP dans la 3e et la 5e circonscription du Vaucluse sont réunies. Dans la 3e, la candidate socialiste Catherine Arkilovitch est arrivée en troisième position, derrière le député UMP sortant Jean-Michel Ferrand et Marion Maréchal-Le Pen. Dans la 5e, c'est la candidate apparentée FN qui est arrivée en troisième position, après l'UMP et le PS. D'après les témoignages recueillis par L'Express, le président socialiste du conseil général du Vaucluse aurait poussé Catherine Arkilovitch à se maintenir pour assurer l'élection de la nièce de Marine Le Pen. En contrepartie, la candidate FN aurait dû se maintenir dans la 5e, où le socialiste Jean-François Lovisolo avait besoin de la présence du FN au second tour pour devancer l'UMP.
À l'appui de cette thèse, L'Express cite le premier secrétaire du Vaucluse, Patrice Lorello. Ce dernier affirme avoir reçu un coup de fil de Claude Haut. Le président du conseil général l'aurait pressé de «prendre la décision du maintien d'Arkilovitch». Un deuxième coup de fil, cette fois du responsable du local de campagne du candidat PS Jean-François Lovisolo, suit cette conversation. Il aurait expliqué à Patrice Lorello: «des gens du FN sont passés et ils menacent de faire retirer leur candidate, Martine Furioli, dans la 5e, si Arkilovitch se désiste dans la 3e» . Puis, quelques heures plus tard, Jean-François Lovisolo, lui-même, aurait contacté Patrice Lorello pour lui tenir les mêmes propos.

Marion Maréchal-Le Pen ne croit pas à un coup de pouce

Le message passe. En dépit des suppliques de Solferino, Catherine Arkilovitch se maintient. Le témoignage de son suppléant, qui, quant à lui, refuse de continuer, semble accréditer la thèse d'une entente PS-FN. «Un militant proche du conseil général m'a dit: “Si vous vous retirez, vous ferez perdre un camarade ailleurs”», confie-t-il à l'hebdomadaire.
Finalement, le 17 juin , Marion Maréchal-Le Pen est élue députée du Vaucluse avec 42,09% des voix contre 35,8% au candidat UMP Jean-Michel Ferrand et 22,08% à Catherine Arkilovitch. Dans la 5e, le candidat UMP bat le prétendant socialiste. Entre-temps, la candidate apparentée FN s'est désistée. Une décision prise en désaccord avec la direction nationale du FN.
Deux responsables du PS, Marc Mancel et Pascal Jailloux, seraient chargés d'une enquête et n'auraient pas obtenu de preuves formelles d'un accord entre le FN et le PS. L'un d'eux à néanmoins assuré à L'Express que le rapport qu'ils comptent rendre sera à charge. Sauf que la direction du parti affirme qu'il n'y a «ni enquête interne ni rapport remis en fin de semaine», mais que leur mission consiste à recueillir des «informations sur le fonctionnement de la fédération du Vaucluse».
Jean-François Levioso n'a pas voulu s'expliquer devant eux mais s'est défendu à Paris. L'intéressé nie toute entente, brandissant comme argument le désistement du candidat FN dans la 5e circonscription. «Je n'ai pas assisté à des rencontres ou des tractations de ce type-là. Je n'ai pas reçu de coup de fil non plus, ni vraiment été mis sous pression», a confié de son côté le suppléant de la candidate socialiste, Roland Davau.
Marion Maréchal-Le Pen ne croit pas non plus à un coup de pouce socialiste. Pour elle, s'il n'y a pas eu de front républicain, c'est parce que le PS et l'UMP locaux se détestent. «Je constate que l'approche des municipales (de 2014) et la montée du Front National alimentent les sagas les plus improbables. Je ne tiens pas à commenter ce qui s'apparente assez clairement à un règlement de comptes entre socialistes», a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Des élus socialistes soupçonnent leurs collègues du Vaucluse d'avoir maintenu leur candidate pour assurer la victoire du FN dans la triangulaire. En échange, le FN avait prévu de faire de même dans la circonscription voisine. Mais la direction du PS nie toute entente d'une de ses fédérations avec le parti d'extrême droite.
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Le Vaucluse a-t-il été le théâtre d'arrangements secrets entre le PS et le FN, qui ont abouti à l'entrée de Marion Maréchal-Le Pen à l'Assemblée nationale? Ce soupçon d'entorse au front républicain ferait l'objet d'une enquête de la part du siège parisien du PS, révèle L'Express . Un rapport devrait être remis en fin de semaine à Harlem Désir. Au cœur de ce marché présumé, dont la thèse «est défendue par des socialistes repentis», écrit l'hebdomadaire, «un échange de bons procédés».
En juin 2012, à l'issue du premier tour, les conditions pour une triangulaire entre les candidats FN, PS et UMP dans la 3e et la 5e circonscription du Vaucluse sont réunies. Dans la 3e, la candidate socialiste Catherine Arkilovitch est arrivée en troisième position, derrière le député UMP sortant Jean-Michel Ferrand et Marion Maréchal-Le Pen. Dans la 5e, c'est la candidate apparentée FN qui est arrivée en troisième position, après l'UMP et le PS. D'après les témoignages recueillis par L'Express, le président socialiste du conseil général du Vaucluse aurait poussé Catherine Arkilovitch à se maintenir pour assurer l'élection de la nièce de Marine Le Pen. En contrepartie, la candidate FN aurait dû se maintenir dans la 5e, où le socialiste Jean-François Lovisolo avait besoin de la présence du FN au second tour pour devancer l'UMP.
À l'appui de cette thèse, L'Express cite le premier secrétaire du Vaucluse, Patrice Lorello. Ce dernier affirme avoir reçu un coup de fil de Claude Haut. Le président du conseil général l'aurait pressé de «prendre la décision du maintien d'Arkilovitch». Un deuxième coup de fil, cette fois du responsable du local de campagne du candidat PS Jean-François Lovisolo, suit cette conversation. Il aurait expliqué à Patrice Lorello: «des gens du FN sont passés et ils menacent de faire retirer leur candidate, Martine Furioli, dans la 5e, si Arkilovitch se désiste dans la 3e» . Puis, quelques heures plus tard, Jean-François Lovisolo, lui-même, aurait contacté Patrice Lorello pour lui tenir les mêmes propos.

Marion Maréchal-Le Pen ne croit pas à un coup de pouce

Le message passe. En dépit des suppliques de Solferino, Catherine Arkilovitch se maintient. Le témoignage de son suppléant, qui, quant à lui, refuse de continuer, semble accréditer la thèse d'une entente PS-FN. «Un militant proche du conseil général m'a dit: “Si vous vous retirez, vous ferez perdre un camarade ailleurs”», confie-t-il à l'hebdomadaire.
Finalement, le 17 juin , Marion Maréchal-Le Pen est élue députée du Vaucluse avec 42,09% des voix contre 35,8% au candidat UMP Jean-Michel Ferrand et 22,08% à Catherine Arkilovitch. Dans la 5e, le candidat UMP bat le prétendant socialiste. Entre-temps, la candidate apparentée FN s'est désistée. Une décision prise en désaccord avec la direction nationale du FN.
Deux responsables du PS, Marc Mancel et Pascal Jailloux, seraient chargés d'une enquête et n'auraient pas obtenu de preuves formelles d'un accord entre le FN et le PS. L'un d'eux à néanmoins assuré à L'Express que le rapport qu'ils comptent rendre sera à charge. Sauf que la direction du parti affirme qu'il n'y a «ni enquête interne ni rapport remis en fin de semaine», mais que leur mission consiste à recueillir des «informations sur le fonctionnement de la fédération du Vaucluse».
Jean-François Levioso n'a pas voulu s'expliquer devant eux mais s'est défendu à Paris. L'intéressé nie toute entente, brandissant comme argument le désistement du candidat FN dans la 5e circonscription. «Je n'ai pas assisté à des rencontres ou des tractations de ce type-là. Je n'ai pas reçu de coup de fil non plus, ni vraiment été mis sous pression», a confié de son côté le suppléant de la candidate socialiste, Roland Davau.
Marion Maréchal-Le Pen ne croit pas non plus à un coup de pouce socialiste. Pour elle, s'il n'y a pas eu de front républicain, c'est parce que le PS et l'UMP locaux se détestent. «Je constate que l'approche des municipales (de 2014) et la montée du Front National alimentent les sagas les plus improbables. Je ne tiens pas à commenter ce qui s'apparente assez clairement à un règlement de comptes entre socialistes», a-t-elle ajouté dans un communiqué.

vendredi 24 mai 2013

Yannick Noah accusé d'antisémitisme...au dessus, c'est le soleil?

Yannick Noah, l'une des personnalités préférées des français qui a soutenu Ségolène Royal à la Présidentielle de 2007 et François Hollande en 2012, est venu assister au spectacle de Dieudonné et l'un et l'autre ont ensuite posé ensemble pour une photo. Il n'en fallait pas plus pour déchaîner les foudres des sionistes qui par un raisonnement alambiqué en ont conclu que les 2 hommes avaient pour point commun "d'être des métis et par conséquent de haïr l'homogénéité que représente le peuple juif soudé depuis des millénaires".



 Depuis que Dieudonné a eu le malheur de parodier un colon israélien sur une chaîne française, les sionistes sont en train d'exposer publiquement leur vision psychotique du monde. Par effet de contamination, est antisémite, tous ceux qui ont un rapport de prés ou de loin avec l'humoriste.
 Déclaration d'Europe-Israel.org:                                                                                        Que Yannick Noah aille au spectacle de Dieudonné, cela n’a rien d’étonnant. Malheureusement le métissage crée souvent l’antisémitisme et la haine de l’homogénéité en général.

Comment voulez-vous que des gens issus de la rencontre hasardeuse de deux cultures opposées (et n’étant en général considérés comme, ni de l’une ni de l’autre), puissent supporter l’idée d’un peuple qui maintien la sienne depuis plus de 3500 ans?

Ceci n’est bien évidemment pas une règle absolue. Il y a beaucoup de métisses (sic) qui vivent leur double culture avec simplicité et intelligence.

En revanche le métissage comme idéologie telle qu’évoquée par Dieudonné, n’est qu’une sorte d’eugénisme moderne. Détruire les spécificités en les dissolvant dans le chaos, ce que Dieudonnée appelle « la déchéance de l’homme blanc ».
Petit rappel et définitions:
-Le Sionisme est une idéologie politique (nationaliste, raciste et impérialiste) prônant la supériorité du peuple d'Israël sur le reste du Monde. Le Sionisme n'est pas une religion et n'est pas le Judaïsme, beaucoup de Rabbins (antisionistes) ont d'ailleurs pris positions contre Israël!
-L'antisémitisme est une idéologie raciste qui combat les peuples sémites (arabes, hébreux...)
-Les Juifs ne sont pas tous sémites car le Judaïsme c'est l'appartenance à une religion et les Sémites sont l'ensemble des peuples utilisant ou ayant utilisé les langues sémitiques.
-On peut donc être Sémite (arabe ou hébreu) et antisioniste (antiraciste)!
-Les médias dominants (sionistes) crée cet amalgame entre antisionisme et antisémitisme pour faire croire à une judéophobie! D'ailleurs remarquer bien que le mot "sionisme" est tabou dans nos médias!

mercredi 22 mai 2013

Utopie de l'Eldorado

Quand le reve de rejoindre l'Europe devient un cauchemar!


« Ma vie de clandestin en Frande » de Mehdi Sayed (Karim Bahri)

Karim, clandestin : « Avertir les jeunes qui rêvent d’Europe »

Doudoune noire, jean et cheveux gominés, Karim Bahri est un jeune homme timide. Mais quand il prend la parole pour raconter son histoire, son regard en dit long sur les épreuves qu’il a traversées. En Tunisie, où il est né, en France, qui refuse depuis toujours de l’accueillir, et lors de ses nombreux voyages en mer pour aller de l’une à l’autre.
Lorsqu’il s’est fait arrêter pour la première fois en Italie, Karim Bahri n’a pas donné son vrai nom aux autorités. Il a eu peur d’être accusé du vol du bateau de pêche qui lui a permis de fuir la Tunisie avec deux amis. Il a 12 ans. C’est son premier voyage.

« Avertir les jeunes qui rêvent d’Europe »

Aujourd’hui, à 35 ans, il est toujours menacé d’expulsion. Mais il n’a plus peur de dévoiler son identité car il veut servir d’exemple. Désormais, il veut se battre pour « avertir les jeunes qui rêvent d’Europe » et leur éviter de devenir des « harragas » (ce mot originaire de l’arabe désigne ceux « qui brûlent » les papiers d’identité), ces migrants clandestins qui prennent la mer depuis l’Afrique du Nord sur des bateaux de pêche pour venir s’installer en Europe, en passant le plus souvent par l’Espagne ou l’île de Lampedusa.
Originaire d’un village de pêcheurs de Bizerte, à la pointe nord de la Tunisie, Karim a toujours su que sa vie était ailleurs, qu’il ne la passerait pas « à jouer au rami et à boire de la bière dans les cafés ». Enfant, lorsqu’il sortait sa barque pour ramener du poisson, il rêvait déjà de voyages et d’aventures.
Comme d’autres, il s’est laissé influencer par « les frimeurs », ces jeunes qui reviennent au bled, roulent dans leurs belles voitures avec la musique à fond », et qui, en réalité, vivent dans une misère noire en France. « Ils doivent revendre leurs vêtements pour se payer le retour » décrit-t-il, amer.

« Si on est mort, tant pis »

Mais lorsqu’il prend la décision de partir en 1990, alors qu’il est encore un petit garçon, la peur de mourir ne suffit pas à l’arrêter. D’ailleurs, avant chaque traversée, il se répète toujours la même phrase : « Si on est mort, tant pis. Si on arrive, tant mieux. » Aujourd’hui, il s’estime chanceux de ne pas avoir fait partie de la centaine d’enfants de son village qui ont péri en tentant, comme lui, de traverser la mer.
Sur ses sept tentatives pour rejoindre l’Europe, quatre ont réussi. Lors de la première, il met le cap sur Mazzara, en Sicile, dans un bateau volé. Mais la boussole se casse et il accoste à Tripani, où il se fait directement arrêter par les carabiniers siciliens, juger puis expulser.

Karim Bahri à Paris, en avril 2013 (Hugo Domenach)
Lors de la deuxième, son bateau tombe en panne et il passe huit jours à dériver en pleine mer avec 27 autres harragas. Il survit en buvant l’eau du circuit de refroidissement du moteur hors-bord en cachette. Puis il décide de partager sa source avec les autres membres de l’équipage, ne supportant pas de les voir agoniser.
Il parvient à joindre les autorités tunisiennes avec son portable. Les policiers lui expliquent qu’ils ont trop de problèmes à terre pour s’occuper d’eux. Il appelle alors l’armée, qui refuse également d’entamer des recherches. Malgré les problèmes de réseau, il arrive à joindre Virginie Lydie, écrivaine rencontrée dans un centre de rétention et qui l’a aidé à mettre en forme son histoire, publiée un peu plus tard.
Croyant qu’ils se trouvent près du cap Bon, elle alerte la Marine nationale qui prévient les autorités italiennes. Elle reste en contact avec le bateau et continue de fournir des informations à l’armée. « Grâce aux descriptions de Karim, on a pu savoir qu’ils étaient encore en Tunisie », explique-t-elle. Les Italiens demandent alors une autorisation de survol à l’armée tunisienne, avant de leur envoyer les coordonnées du bateau. Sauvés.

Des centaines d’heures de garde à vue

Une autre fois, juste avant le départ, il tombe à l’eau en chargeant un bidon d’essence. Il passe chez lui pour se changer et rate finalement le départ. Une chance : il voit revenir quelques jours plus tard les quinze cercueils des membres de l’équipage.
En France, où il a passé la majeure partie de sa vie, Karim a fait des centaines d’heures de garde à vue, connu les expulsions, la vie dans la rue. Perplexe, il raconte :
« Un jour, je dormais dans une carcasse de voiture brûlée. La police m’a arrêté pour tentative de vol. J’ai fait trois mois de prison. »
En prison, où il a été une autre fois condamné à dix-huit mois pour avoir refusé de respecter une obligation de quitter le territoire (OQTF), il découvre la solitude, la maltraitance et le harcèlement. A la maison d’arrêt de Gradignan, il partage sa première cellule avec un détenu qui essaye de le toucher quand il dort :
« Lorsqu’ils m’ont installé dans ma cellule, je me suis demandé pourquoi les surveillants rigolaient. J’ai vite compris. »
Une nuit, désespéré, il tente de se pendre dans les toilettes de la prison. Il doit son salut à un gardien qui passait par hasard. « J’ai perdu le moral et tout espoir ici à cause de la prison. Mais je n’ai pas laissé tomber », raconte-t-il.

« On se moque de tous les expulsés »

Pendant sa détention, il a écrit un livre, publié sous le pseudonyme de Mehdi Sayed, nom qu’un interprète lui avait prêté lors de sa première arrestation en Italie. Il l’a rédigé avec le peu de français qu’il connaissait pour « sensibiliser les Français sur les clandestins ».
Malgré l’errance, malgré la France d’en dessous où il survit, il n’a jamais été question de retour au pays :
« Lors de ma dernière expulsion en août 2009, 50 personnes m’ont entouré quand je suis revenu au village. C’était tous mes cousins mais je ne les connaissais pas. Ils se sont moqués de moi comme on se moque de tous les expulsés. »
En France, il a donné la vie deux fois et a fait reconnaître son droit de visite sur le plus jeune de ses enfants. Il est en train d’essayer de renouer le contact avec le premier qu’il a perdu de vue après sa dernière expulsion et qui vit aujourd’hui à Cannes avec sa mère.

Le zèle des préfectures

Aujourd’hui, Karim est toujours sous la menace d’une expulsion. Son avocate, maître Maktouf, qui défend de nombreux Tunisiens de Lampedusa, tente de régulariser sa situation. Elle considère que « le cas de Karim entre parfaitement dans le cadre de la circulaire Valls, qui prévoit les régularisations au cas par cas ». Mais elle déplore « le zèle des préfectures qui demandent de nombreux documents qui ne sont pas réclamés par le texte ».

En attendant, Karim continue la mission qu’il s’est fixée :
« Je veux montrer qu’il ne faut pas risquer sa vie pour faire des allers-retours. Les jeunes doivent faire des études. »
Il va jusqu’à filmer des gens qui dorment par terre pour les montrer en Tunisie. Une preuve nécessaire, car là-bas, « personne ne peut croire que des Français dorment dehors ou mangent dans les poubelles ».

mardi 21 mai 2013

La Marche des "fiertés gays" remplace la Marche des "beurs"!

Je ne peux m'empêcher d'écrire cet article pour démontrer l'instrumentalisation politique des minorités par le Parti Socialiste.




En 1981, François Mitterrand est élu Président de la République Française. Son arrivée au pouvoir ne va pas "changer" la politique économique et sociale de la France et n'ira pas dans l'intérêt du peuple. Pour se racheter une virginité de "gauche", les socialistes tentent de récupérer la Marche pour l'égalité et contre le racisme, surnommée par les médias "Marche des beurs". En 1983, le cadeau du gouvernement sera une régularisation des sans papiers en leur octroyant une carte de séjour de 10 ans!

En 2012, François Hollande est élu Président de la République Française. Son arrivée au pouvoir ne va pas "changer" la politique économique et sociale de la France et n'ira pas dans l'intérêt du peuple. Pour se racheter une virginité de "gauche", les socialistes tentent de récupérer la Marche pour l'égalité et contre l'homophobie, surnommée par les médias "Marche des fiertés gays". En 2013, le cadeau du gouvernement sera le mariage pour tous en octroyant l'union des couples de même sexe et
l'homoparentalité!

Voila comment le Parti Socialiste a récupéré le combat des minorités pour cacher aux français la dure réalité!

mercredi 15 mai 2013

Anniversaire de la Nakba

Ils ne sont pas des juifs fuyant les nazis, ils sont des Palestiniens fuyant les sionistes en 1948 !Ils ont quitté leurs maisons et leurs terres afin d'échapper aux criminels sanguinaires sionistes : hommes, femmes et enfants de tous les âges. Transportant autant qu'ils pourraient (qui n'était pas beaucoup) de leurs affaires. Laissant tout derrière eux …

dimanche 5 mai 2013

Un an après l'élection de François Hollande.

Le Front de gauche a défilé dans les rues de Paris «contre l'austérité» et pour l’avènement d’une VIe République. Les oreilles de François Hollande ont sifflé...



Debout sur la petite tribune de la rue de Lyon, à quelques centaines de mètres de la Place de la Bastille, Jean-Luc Mélenchon sonne la charge : «La période d’essai est terminée. Le compte n’y est pas, lance l’ancien candidat à la présidentielle, tonitruant contre François Hollande sans jamais le citer. «Nous sommes le peuple souverain, aucun monarque, fût-il républicain, ne nous imposera sa loi.»
>> Revivre le live de cette marche ici
Derrière Mélenchon, les caméras filment le cortège qui s’étend vers Bastille. Près de 180.000 personnes sont là, proclame le Front de gauche qui voulait mobiliser « contre l’austérité » et pour «l’avènement d’une VIe république».  La préfecture de police annonce, elle, 30.000 manifestants. Derrière les banderoles, des militants du Parti communiste (PC), d’Europe-écologie-Les Verts dont l'ancienne candidate, Eva Joly a pris la parole elel aussi, des syndicalistes d’entreprises en lutte comme les Fralib ou Unilever. Partout, des citoyens vêtus de bonnets phrygiens et armés de balais. «La dette c’est eux, la diète c’est nous », scandent-ils.
« Nous ne pensions pas que le revirement irait aussi vite»
La plupart des manifestants ont voté François Hollande au second tour de la présidentielle. «Oui, avant tout pour faire blocage à l’autre [Nicolas Sarkozy], glisse Grégory. Je ne m’attendais pas à des miracles car j’avais déjà commencé à m’éloigner du PS trop social-démocrate. Il y a eu des choses bien comme le mariage pour tous. Par contre rien n’a été fait contre la finance, le problème principal. Près de la tribune où l’on vient de chanter l’Internationale et la Marseillaise, Josette et Gérard, militants communistes,  se souviennent. « Oui nous avions quelques espoirs mais nous ne pensions pas que le revirement irait aussi vite. Mitterrand avait mis deux ans et quelques mois avant de merdouiller. Là ça n’a pas traîné. Donner 20 milliards sans contreparties aux entreprises, ne pas accorder l’amnistie sociale… Tout ça, c’est un drame », explique Gérard.
Dans la bouche des militants, le pacte de compétitivité, le Traité européen (TSCG) et l’amnistie sociale reviennent en boucle, comme des réformes  symboliques de  l’orientation libérale de la majorité de François Hollande. «Ok il fallait virer Sarkozy mais aucune promesse n’a été tenue. Le pouvoir d’achat n’a pas augmenté et ils font passer le TSCG, qu’ils critiquaient sous la droite, sans en changer une virgule. Il est encore possible de réorienter, si les mobilisations deviennent européennes », analyse Ghislaine, rejointe par deux militants de la gauche radicale belge, Antoine et Maxime. «Nous vivons depuis plus de 20 ans sous la social-démocratie. Nous avons vu ce que cela a donné en Espagne ou en Italie. La seule solution est de se rejoindre dans des luttes transfrontalières », concluent-ils.

samedi 4 mai 2013

Mazeltov (bravo) à ces juifs qui soutiennent la Palestine!

Etes-vous conspirationniste?

Un Français sur deux croit à la théorie du complot

22 % des sondés sont "totalement d'accord" avec l'idée que ce n'est pas le gouvernement qui dirige le pays.


La théorie du complot ? La rengaine est vieille, mais toujours d'actualité. C'est ce que révèle une étude de grande ampleur publiée ce vendredi par Le Monde. D'après un sondage réalisé par OpinionWay, mené auprès de 2 500 personnes juste après la présidentielle, 51 % des Français approuvent l'énoncé "ce n'est pas le gouvernement qui gouverne la France, on ne sait pas en réalité qui tire les ficelles". 22 % des sondés sont "totalement d'accord" avec ces idées et 29 % sont "plutôt d'accord".
L'adhésion aux théories conspirationnistes est plus forte, révèle le quotidien du soir, chez les sympathisants des extrêmes. Les électeurs en 2012 de Marine Le Pen sont ainsi 72 % à ne pas "savoir qui tire les ficelles", ceux de Jean-Luc Mélenchon 56 %. Les électeurs de François Hollande - 35 % - et ceux de Nicolas Sarkozy - 42 % - sont les moins suspicieux.
La finance internationale aux manettes
Mais quels groupes spécifiques "tirent les ficelles" du monde ? La finance internationale, répondent trois sondés sur quatre, toutes tendances confondues. 45 % des Français pensent également que les médias sont aux manettes. 44 % des sondés se méfient des "autres pays qui cherchent à nous dominer". 27 % des Français incriminent aussi des groupes secrets comme les francs-maçons, et 20 % "certains groupes religieux".